Matière à reflexion légère
Matinée sans défaut
Je choisis un moment anodin,
Une animation douce
Avisée d’une poussée subite
Dans mon dos,
Le nez du dog argentin
Quatre à cinq mains liées
Je partage
Nina et Juan Pedro balancent leurs petits bras
Autour de l’oranger
A l’ horizon se freine une ombre
Un virage, combustible d’une lueur ascensionnelle
Je passe à froid mon humour
Fiasco directeur d’une pensée asséchée
Par le vent
Nina me lance un coucou de sa menotte
Meio azur,
Je mets fin à la journée,
Brasilia s'endort
Fin de la phrase
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1 commentaire:
pour l'anecdote,le montage qu'on avait fait à la fête du livre quand j'étais dans la classe de mon père était sur "mon bel oranger" l'histoire d'un gamin dans les favellas brésiliennes.j'y retrouve ici les symboles...sans doute connais tu le livre qui a été un best seller?
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